NAHO YOSHIDA
i'm cute as hell. which is, incidentally, where i came from.
Âge ■ vingt quatre ans.
Date de naissance ■ deux novembre.
Lieu de naissance ■ kyoto.
Nationalité ■ japonaise.
Groupe sanguin ■ O.
Carte du personnel Poste ■ responsable du secteur hygiène propreté. c'est ce qu'il y a écrit, normalement. mais non, en vrai, ce n'est qu'une simple femme de ménage.
Parcours suivi à l'institut ■ forces spéciales.
Ancienneté à l'institut ■ un an déjà qu’elle récure avec loyauté – et dégoût – chaque coin et recoin de cette école, après avoir passé sept belles années de sa vie (foutues en l’air, d'ailleurs) à jongler entre études et jobs à temps partiel.
Sévérité présumée des sanctions ■ mieux vaut ne pas en parler, vraiment. naho, elle vous éclate la gueule à grands coups de balai si vous osez pénétrer son périmètre de sécurité. (on appelle ça de la "légitime défense", petit pervers).
3 capacités bonus ■ télékinésie - création d'illusions - explosions.
3 capacités malus ■ bouclier/champ de force - odorat amélioré - vérité absolue.
Caractère Naho est belle. Naho est mignonne. Son sourire est magnifique, celui d'une petite fille sans défense,toute innocente. Naho est aussi sage qu'une image, dit-on.
Que des foutaises, tout ça.
Naho n'a rien de mignon, bien au contraire. Naho, c'est le modèle de la femme amère et sarcastique par excellence. Très mécontente du fait que le bonheur avait carrément oublié de toquer à sa porte, elle recrache sa haine en attaquant à coups de venin empoisonné. Ses mots sont durs, tranchants, comme sa personne. Sa franchise peut-être littéralement classifiée comme étant légendaire. Elle n'a pas froid aux yeux, et n'hésite absolument pas à piétiner tous ceux qu'elle croise sur son chemin.
Naho est un paradoxe. Une énigme incompréhensible. Naho est franche. Mais peut être très, très hypocrite. Elle ment comme elle respire. Naho est jalouse de ceux qui sont mieux qu'elle. De ceux qui sont plus beaux, plus riches, plus célèbres qu'elle. Naho, elle est rongée par l'envie. Mais elle ne laisse rien transparaître. Parce que Naho, elle est aussi orgueilleuse.Elle préférerait mourir plutôt que de dévoiler sa vraie nature. Elle est fière d'elle même, elle a un putain d'ego surdimensionné, parce que pour elle, Yoshida Naho est la meilleure de toutes. Mais cette même personne a honte de ses origines, de son petit village de pêcheurs que seuls les experts connaissaient. Elle fait de son mieux pour paraître civilisée, mais sa sauvagerie et sa vulgarité reprennent très facilement le dessus. Parce que Naho, il ne faut pas oublier que c'est une sauvageonne qui a passé toute sa vie pieds nus. Il ne faut pas s'attendre à quelque chose de particulier de sa part, à part à peut être quelques insultes rares et quelques coups de poings envoyés dans le feu de l'action.
Elle essaye de renier ce qu'elle est réellement. Naho, elle veut aussi avoir l'air tendance, mais elle ne s'y connait pas vraiment en grandes marques. Elle parade, elle raconte des charades, elle empile les mensonges.
Naho, elle est forte. Indépendante. Elle vit seule,et survit seule dans cet enfer déguisé en paradis, isolé du reste du monde.
Sauf qu'au fin fond d'elle même,
Naho,elle pleure encore dans les frêles bras de maman.
FamilleUn père Magi fatigué, une mère Mon usée, une fratrie de cinq enfants plus que soudée dont Naho se trouve être l'aînée. Née dans un village connu pour être une destination touristique plutôt prisée par les citadins, elle ne se rappelle pourtant pas avoir bénéficié de l'argent que dépensaient les milliers de touristes que ses petits yeux encore innocents à l'époque voyaient passer. Son père était gérant d'un petit restaurant familial qu'il peinait à maintenir ouvert, tandis que sa mère faisait de son mieux pour soutenir son mari dans ses affaires très peu rentables en travaillant comme femme de ménage dans l'une des auberges du village.
Plus Naho grandissait, moins ses parents souriaient. Criblés de dettes, ils se faisaient arracher le peu de bonheur qui leur restait. Elle était témoin de tout ça, Naho. Les pleurs de sa mère, elle les entendait à travers les fins murs qui séparaient sa chambre de la sienne. Les cris de rage de son père, incapable de faire quoi que ce soit pour sauver sa famille - qui s'élargissait de la crise, résonnaient dans ses oreilles comme un bourdonnement incessant d'abeilles.
Et elle s'était bougée, Naho. Elle avait refusé de rester les bras croisés. Elle s'était mise en tête de redonner le sourire à papa et maman, à les aider dans leur quête insensée vers l'argent. Parce que Naho, c'est ce qu'elle avait compris: Tant que ses parents n'auront pas assez d'argent pour vivre confortablement, jamais ils ne seront heureux. C'était son constat à elle, que l'argent, il faisait tout le bonheur. Sans ces billets, on ne pouvait pas survivre. Alors, elle avait commencé à travailler. Un peu partout. Vendeuse de fleurs maladroitement arrachées au jardin voisin ambulante, apprentie ménagère,apprentie serveuse, et j'en passe. Elle s'était sacrifiée, elle et son enfance, pour grandir un peu plus tôt. Pour le bien de ses parents, de sa fratrie. Pour son bien à elle. Pour préserver l'innocence de ses plus jeunes frères, elle avait décidé d'abandonner la sienne.
Lors de la tragédie de 2006, elle avait eu peur pour sa famille. Tout simplement. Pas pour elle même, parce qu'elle s'en foutait un peu d'elle même, mais pour ses parents, ses frères et soeurs. Quand elle avait appris que les victimes du virus étaient les jeunes âgés de dix sept à vingt cinq ans, elle s'était sentie soulagée. Aucun membre de sa famille n'appartenait à cette tranche d'âge.
A dix sept ans, elle avait intégré Shinrin Yoku, comme tout bon jeune citoyen. Ses parents ne s'y étaient absolument pas opposés, contrairement à ce qu'elle croyait - elle était tout de même devenue leur principale source de petites pièces. Ils l'avaient, à sa surprise, encouragée à s'y rendre le plus tôt possible. Elle avait plus tard compris que l'institut offrait du travail aux futurs diplômés qui désiraient bien rester à l'académie, ce qui signifiait tout simplement un boulot et une vie stable pour elle, et des revenus sûrs pour eux.
A sa graduation, Naho avait décidé de rester à l'institut, et ce, de façon définitive. Même après avoir franchi le cap du quart de siècle. Parce qu'elle s'y était habituée, mais surtout parce que c'était beaucoup plus agréable de dormir sur un vrai lit plutôt que sur un futon usé jusqu'à la moelle.
QuestionnaireVos loisirs — Naho aime prendre soin d'elle même, chose qui lui aurait été impossible auparavant. Elle aime par dessus tout se relaxer après une longue journée de travail, prendre des bains bien chauds - pourquoi ne pas en profiter? -, écouter de l'Enka pour se remémorer tous les doux moments passés auprès de sa famille, penser à ses petits frères et soeurs qui attendent patiemment son retour de l'île, faire des siestes de fin de journée.
Votre division préférée — Ume.
Votre couleur préférée — Le noir. C'est la couleur de son âme.
Votre rêve — Son rêve le plus cher, c’est un putain de cliché. Elle rêve de devenir riche, riche comme Crésus. Elle veut se baigner dans des piscines de fric, dépenser sans avoir à compter. C’est matérialiste, c’est égoïste, mais comprenez la. Elle a vécu toute sa vie dans la misère, Naho. Elle,ses parents, ses frères et sœurs, ils espèrent tous qu’un jour, ils quitteront leur petit village, ensemble. Que la vie n’est pas aussi dure qu’elle en a l’air. Qu’un jour, la galère ne sera plus qu’un bien mauvais souvenir au goût un peu trop amer.
Qu'est-ce qui vous a motivés à travailler à l'institut ? — Naho a besoin d’argent. Et l’institut, elle paye bien. Du coup, Naho elle est contente. Très contente, même.
Quel est votre avis sur le problème des Yajuus ? Votre personnage a-t-il peur de se transformer? Quelle est sa relation avec la magie, est-il pro-magie, anti-magie ou neutre ? — Elle n’en a complètement rien à carrer d’eux. Bon d’accord, il fallait avouer qu’en 2006, c’était effrayant, mais plus vraiment, maintenant. Elle était jeune, et elle avait eu vraiment peur, il faut le dire. Une décennie s’est écoulée depuis le fameux ‘incident’, l’humanité ainsi que les sciences et la technologie ont évolué, ce n’est plus qu’une question de temps avant que l’on découvre un antidote à ce poison de l’humanité. On peut dire qu’elle n’a pas vraiment peur de se transformer, parce que, de toutes les façons, sa vie ne lui a jamais vraiment appartenue. Sa seule crainte est de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de sa famille, famille pour laquelle Naho se bat. D’ailleurs, ses pouvoirs sont une sorte de bénédiction pour elle. Ils la fascinent, ils la rendent fière d’elle-même, de sa petite personne. Par contre, il faut bien préciser qu’elle n’est ni pro-magie, ni anti-magie. Une personne neutre qui n’a pas vraiment envie de se mêler à ce genre de conflits stupides qui oppose des gens cons à d’autres gens encore plus cons.
Vous assistez à la transformation en Yajuu d'un de vos élèves. Comment gérez-vous la situation ? — Naho reste calme.Elle a beau occuper un poste des plus sous-estimés, il ne faut néanmoins pas oublier qu’elle aussi, a été étudiante à l’institut. Tout d’abord, elle commence par garantir la sécurité aux élèves, puis procède directement à l'élimination du Yajuu en métamorphose.Vite fait, bien fait. Aucun regret, aucun remords. De toutes les façons, il était déjà trop tard.
Comment êtes-vous à la veille de vos inspections ? — Sereine. Naho n'en a sûrement pas l'air, mais lorsqu'on parle de travail, il se trouve qu'elle soit irréprochable - sûrement dû au fait qu'elle était passée par plusieurs jobs lors de son enfance qui nécessitaient un sérieux exemplaire - . Elle a confiance en ses propres capacités.
On vous propose d'aller faire la fête, mais vous avez des copies à corriger... Que faites-vous ? — Pas de copies pour une femme de ménage. Et elle ne dit jamais non à une soirée. (De la booze gratuite, qui dirait non, franchement?)
Vous devez vous occuper d'élèves que vous n'aimez pas. Comment réagissez-vous ? — Si l'élève en question avait été puni, qu'on lui avait ordonné de récurer les cuvettes des toilettes à l'aide d'une brosse à dents, et que Naho était celle qu'on lui avait collé au cul, il devrait se préparer mentalement, vu le sale quart d'heure qu'il s'apprêterait à passer. Parce que Naho, elle ne le touchera pas. Ne l'approchera pas. Il comprendra tout seul, comme un grand qu'elle ne le portait pas vraiment dans son coeur. Il sentirait son regard le transpercer par derrière, ses yeux emplis de mépris pour sa personne. Le plus effrayant dans tout ça, c'est le sourire qu'elle lui adresserait, accompagné de mots aussi amers qu'elle.
Qui c'est qui se cache derrière l'écran ? Pseudo : pas de pseudo fixe
Âge : 16 ans
Votre vrai âge : 3 ans en vrai pff
Comment avez-vous connu le forum ? : un peu par hasard, en fait
Des avis, des suggestions ? : ras
Quel est votre smiley stitch préféré ? : parce qu'il résume parfaitement l'histoire de ma vie